Chercher
Français
  • English
  • 正體中文
  • 简体中文
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Magyar
  • 日本語
  • 한국어
  • Монгол хэл
  • Âu Lạc
  • български
  • Bahasa Melayu
  • فارسی
  • Português
  • Română
  • Bahasa Indonesia
  • ไทย
  • العربية
  • Čeština
  • ਪੰਜਾਬੀ
  • Русский
  • తెలుగు లిపి
  • हिन्दी
  • Polski
  • Italiano
  • Wikang Tagalog
  • Українська Мова
  • Autres
  • English
  • 正體中文
  • 简体中文
  • Deutsch
  • Español
  • Français
  • Magyar
  • 日本語
  • 한국어
  • Монгол хэл
  • Âu Lạc
  • български
  • Bahasa Melayu
  • فارسی
  • Português
  • Română
  • Bahasa Indonesia
  • ไทย
  • العربية
  • Čeština
  • ਪੰਜਾਬੀ
  • Русский
  • తెలుగు లిపి
  • हिन्दी
  • Polski
  • Italiano
  • Wikang Tagalog
  • Українська Мова
  • Autres
Titre
Transcription
À suivre
 

Où trouver refuge dans les bonnes traditions religieuses, 5e partie de 11 épisodes

Détails
Télécharger Docx
Lire la suite

Les gens osent encore diffuser de fausses informations. Comme même le moine qui raconte des bêtises, qui nie tous les Bouddhas et tout ça. Et Trần Tâm, il a falsifié mon testament. Je n’ai jamais eu de testament pour quiconque. Juste mon poème. Je l’ai fait pour mon ex-fiancé il y a longtemps – il y a de nombreuses décennies. [...]

Et si vous avez lu mon poème, ou même obtenu un de mes livres de poésie auparavant, vous l’auriez lu et compris qu’il n’a rien à voir avec lui ! J’ai écrit ce poème parce que nous avions rompu – j’ai eu un fiancé avant mon ex-mari. [...] Si bien qu’on s’est séparés à la fin, et c’est ainsi que j’ai écrit ce poème. C’est un cœur brisé, par exemple : « Si je meurs demain, je te laisse tel et tel héritage. » En fait, je n’avais pas grand-chose. C’est juste un poème, comme : « Je me sens vide, ma vie est vide et [j’ai] le cœur brisé. » C’est pour lui. [...] J’ai bien sûr eu le cœur brisé, mais ensuite, j’ai été occupée. Et il a continué sa vie, et moi la mienne.

Puis, j’ai rencontré mon second fiancé, le médecin que j’ai épousé, vous le connaissez – il a une photographie et tout ça pour que vous puissiez le voir. Il n’est pas plus âgé que moi, comme un moine a menti à ce sujet, le moine Thích Minh Tánh. Il (le moine aux ceintures multicolores) a dit que mon mari était très vieux et qu’il m’avait amenée du Vietnam en Allemagne. Ce n’est pas vrai du tout. Il ne sait rien. Ou peut-être qu’il l’a dit délibérément, comme si j’étais juste digne d’avoir un vieil homme.

Apr. 12, 2021, Thích Minh Tánh: La nonne Ching Hai est partie à l’étranger, Elle travaillait comme infirmière, (Oui.) et prodiguait des soins dans un... Quand Elle était au Vietnam, [Elle] a rencontré un Allemand, il était déjà un vieil homme. Elle l’a épousé, et il L’a emmenée en Allemagne.

Non, ce n’est pas vrai. Il n’a qu’un an de plus que moi. [...] Et le poème que j’ai fait était pour le premier fiancé. Je ne peux pas vous dire son nom en entier, mais je peux vous dire qu’il s’appelle Jochen K. Jochen. K est « K » comme « King » (Roi) mais je ne veux pas dire le nom en entier. Alors maintenant, vous savez. Cela n’a rien à voir avec Trần Tâm. Et si vous lisez le poème, vous le saurez. La version anglaise originale ne contient même pas les mots « trần tâm » – « trần tâm » à cet endroit signifie juste : « Je quitte le monde, et mon cœur n’éprouve aucun regret. » C’est tout.

Et pouvez-vous imaginer un tel voyou, utilisant le poème triste de quelqu’un pour en faire un testament pour lui-même ? Un testament, mon testament ! Mon Dieu, je ne suis pas encore morte. Et un successeur ne vient que lorsque quelqu’un prend sa retraite ou meurt. J’ai travaillé pour vous pendant tout ce temps. Je n’ai jamais pris ma retraite. Et si j’avais un soi-disant bon successeur, assez bon pour être mon successeur, je serais si heureuse, si fière de le dire au monde entier. Pourquoi n’ai-je rien dit ? Et aucun de mes disciples ne le sait, à l’exception d’un groupe de personnes quelque part en Âu Lạc (Vietnam) qui ont été assez vulnérables et naïves pour croire que les deux mots de ce poème sont pour lui. Non, mon Dieu ! Quelqu'un de si démoniaque, comment pourrais-je écrire un poème pour lui ?

Et ce du tăng (moine errant) Thích Minh Tánh ne ment pas seulement à propos de mon mari. Il ment sur beaucoup de choses. Mais c’est typique. Normalement, je ne le connais pas. C’est la première fois que j’entends parler de lui et de son discours – il y a quelques mois. Mais je l’ai ignoré parce que j’ai pensé : « Oh, ce sont encore des bêtises. Ce sont d’autres ragots, une autre calomnie. Je laisserai les diables de l’enfer s’occuper de ce type. » Mais en passant, nous en avons parlé, alors au cas où vous seriez confus, je pense que j’avais l’obligation de vous expliquer.

Je n’ai pas lu toute son interview avec cette belle présentatrice aulacienne (vietnamienne) quelque part. Mais l’un des membres de votre équipe m’a envoyée l’intégralité de l’interview. Je me sens donc obligée de vous expliquer tout cela au cas où vous ne comprendriez pas ce qu’il a déclaré : en contradiction avec ce que vous avez entendu de ma part. Ce que vous entendez de ma part est toujours vrai à 100 %. Parce que je pratique la Vérité, je dois dire la vérité. Car si vous pratiquez la Vérité et que vous dites des choses fausses, alors vous n’atteindrez jamais la Vérité. Tout comme si vous voulez atteindre le sud, et que vous continuez à parler du nord et que vous vous fixez dans la direction du nord, alors vous n’atteindrez jamais le sud - c’est aussi simple que cela. Mais le mensonge est une pratique normale des subordonnés de maya, ou des travailleurs de maya. C’est ce qu’ils font. Ils n’ont pas de norme morale. Ils n’ont pas de principes à suivre.

Ils prétendent même suivre Bouddha et suivre la Vérité, et recevoir le précepte de dire la vérité, par exemple – un des préceptes – mais ils ne le mettent jamais en pratique. Ils disent n’importe quoi juste pour se rendre célèbres. On peut être célèbre, mais pas dans la Terre du Bouddha. Tous les Bouddhas vous voient et savent ce que vous dites. On peut donc savoir si un moine est un vrai moine bouddhiste ou un moine de maya, c’est-à-dire un faux moine, un moine zélé, un moine qui n’est pas réel, parce qu’ils sont très bagarreurs. Ils s’en prennent à tout le monde, à tous ceux qu’ils peuvent. Ils racontent toutes sortes de mensonges pour attirer l’attention sur eux. Ils profitent de la bonté, de la richesse ou même de la télévision des autres. Ils s’invitent eux-mêmes. Ils se rendent attrayants en mentant pour créer des histoires sensationnelles, à l’instar de certaines des nouvelles auxquelles les gens veulent que d’autres personnes prêtent attention. Ils créent des genres de titres sensationnels ou racontent des histoires fausses. Ils peuvent aussi déformer l’histoire dans une direction erronée.

C’est ainsi que l’on peut reconnaître un moine de maya, un faux moine, de cette façon. De même, selon le Sutra de l’Extinction Ultime du Dharma du Bouddha, les moines de cette Ère de la Fin du Dharma – les faux moines, les moines qui travaillent pour maya, non pas pour le Bouddha, qui ne travaillent pas pour le bien des êtres humains, même s’ils bla-bla de cette façon – ce genre de moine porterait des kāṣāya (robes) colorées.

Vous pouvez le voir : il (Thích Minh Tánh) porte toujours des robes colorées. Et tout ce qu’il a dit est faux - du moins en ce qui me concerne. Normalement, je n’aurais pas lu toute la chose parce que je m’ennuyais tellement, mais j’ai dit : « Encore des ragots, d’autres calomnies ». Je ne lui ai rien fait de mal et je ne me souviens pas de l’avoir jamais rencontré. Peut-être qu’il me connaît parce que tout le monde me connaît, bien sûr. Mais je ne me souviens pas d’avoir entendu ce genre de poème qu’il a fait pour moi.

Apr. 12, 2021, Thích Minh Tánh: J’ai écrit un poème, et trois voitures de police sont arrivées et ont failli m’arrêter. J’ai écrit ce poème, et c’est un sujet assez sensible. Il aborde des questions religieuses. La police est arrivée juste après que j’ai fini de lire le poème. Ils ont appelé la police pour qu’elle vienne immédiatement.

Je ne me souviens pas d’avoir entendu parler de trois voitures de police qui venaient le chercher. Ce n’est que de la dramatisation – du théâtre, du théâtre de pacotille. Et même dans ce cas, s’il avait écrit un poème et l’avait lu à mes soi-disant disciples, ils l’auraient bien sûr invité à sortir, ou auraient demandé à la police de venir le chercher, parce qu’il diffame leur Maître. Bien sûr, vous protégez votre Maître. Vous aimez votre Maître, alors vous appelleriez la police pour leur dire de venir sortir cet homme de là, parce qu’il n’est pas décent dans notre groupe. Heureusement, je n’étais pas là. Je ne me souviens pas d’avoir été là. Je n’étais pas là ; sinon, je lui demanderais d’aller expliquer toutes ces faussetés à mon sujet.

Je ne lui ai rien fait de mal. Je n’ai jamais rien dit de mal à son sujet. Je ne le connaissais pas personnellement jusqu’à il y a quelques mois, peut-être en mars ou quelque chose comme ça. Il y a peut-être six mois de cela, plus ou moins. Le temps a passé si vite et je suis trop prise. Je suis donc tombée sur mon téléphone « sans carte SIM », comme je vous l’ai déjà dit. C’est ainsi que j’ai appris des nouvelles. Les choses se sont déroulées devant mes yeux. C’est ainsi que j’ai « rencontré » cet homme sur Internet.

Je ne l’ai pas lu. Quelqu’un m’a envoyé des informations sur ce discours. Je ne l’ai pas lu en entier. Je m’ennuyais tellement. Mais maintenant que l’on m’a envoyé des informations, le discours complet de cet homme, je pense que je suis obligée de le clarifier. Sinon, certains d’entre vous pourraient être mal informés, car il ne fait que me calomnier, même pas subtilement. Il a été hypocrite. Il s’incline en quelque sorte devant moi dans la vidéo, mais il me calomnie de bout en bout. C’est pourquoi je pense que mes disciples ont appelé la police, juste pour lui demander de sortir. Nous sommes des pratiquants ; nous ne poursuivons pas vraiment les gens en justice. Nous avons donc demandé à la police de le faire sortir, peut-être. C’est ce qu’ils ont fait, mais je ne me souviens de rien à ce sujet. Je ne savais rien de ce poème et de l’affaire de la police.

Aucun de mes soi-disant disciples ne m’a jamais parlé de lui, du poème, de la police, de rien. Je ne l’ai su qu’il y a plus ou moins six mois. Telle est la vérité. Tous les Bouddhas sont mes Témoins. Il y a beaucoup d’autres mensonges qu’il a racontés pour gagner, juste pour me calomnier, juste pour dégrader des gens comme moi. Il n’est pas nécessaire de dégrader les gens pour s’élever au-dessus. Cela se retournera contre vous, car si vous dites des mensonges sur des personnes innocentes et bonnes, vos adeptes pourraient s’en apercevoir plus tard, et votre propre réputation serait alors ruinée. Oui, c’est comme ça. Si je n’étais pas une pratiquante, une chercheuse de Vérité spirituelle, je l’aurais moi-même poursuivi en justice. Mais je lui pardonne. Puissent tous les Bouddhas lui pardonner, à ce fantôme zélé.

C’est un fantôme zélé. Il ne se contente pas de ressembler à un fantôme zélé et de porter cette robe de moine (multicolore) que le Bouddha nous a expliquée, montrée et enseignée à reconnaître, mais il en est vraiment un. Je l’ai vu. J’ai vérifié dernièrement et je sais que c’est un fantôme zélé. Normalement, je ne me préoccupe pas de ça, mais je pense qu’il serait bon de vous expliquer tout cela.

Il y a un autre mensonge – beaucoup de mensonges qu’il a racontés ici. Tout ce qu’il a dit est un mensonge, sauf mon nom, Ching Hai. Comme il l’a déclaré : j’étais presque comme une infirmière à l’hôpital en Âu Lạc (Vietnam). C’est alors que j’ai rencontré mon mari, un mari allemand – le « vieux, très vieux » mari allemand. Il était beau et jeune, avec des cheveux blonds et des yeux bleus et une belle personnalité, si douce, si gentille. Je ne sais pas si je pourrais rencontrer quelqu’un aussi attirant et aussi doux, aussi généreux et aussi gentil, aussi aimant et aussi passionné que lui. Je me considère chanceuse et malchanceuse de l’avoir quitté pour partir à la recherche de la Bouddhéité. Mais je l’ai rencontré en Allemagne, lorsque je travaillais pour la Caritas d’Allach.

Je l’ai rencontré ensuite lorsque je travaillais là-bas pour les réfugiés aulaciens (vietnamiens). Certaines personnes le savent aussi. Un de mes collègues est également au courant. Ce n’est pas un secret. Mon premier moine quy y (prit refuge), Thầy (Maître) Thích Như Điển, et sư cô Diệu Ân et Thích Thiện Hòa, Minh Tâm – j’ai oublié certains noms – ils sont tous au courant. De nombreux moines et nonnes sont venus chez nous, chez mon mari et moi. Parfois, ils passaient la nuit chez nous, et je leur préparais à manger, etc. Ce n’est donc pas un secret que je l’ai épousé en Allemagne et que je l’ai rencontré en Allemagne.

Il a donc menti à ce sujet. Il a vraiment essayé de me coincer, pas même subtilement, mais évidemment, avec beaucoup d’autres choses qu’il a dites par la suite, comme me calomnier, toutes sortes de choses. Même physiquement attaquée, attaquée physiquement, non pas par des gifles, mais par des mots. Ce n’est pas un gentleman. Si vous êtes un moine, par exemple, et que vous voyez une personne laide, une personne disgracieuse, vous ne lui direz jamais : « Vous êtes si laide ». « Vous êtes handicapée », ou quelque chose comme ça. Ce n’est pas de la compassion. Ce n’est pas un gentleman. Il n’est donc pas bon de toute façon. C’est typique des travailleurs de maya. Ils n’ont aucune compassion, aucun amour, aucune morale, aucune sympathie, rien. Tout ce qu’il a dit est un mensonge.

Sauf qu’il a dit que j’ai quy y (pris refuge) auprès de mon Maître Thích Như Điển. Il connaît mon mari. Nous sommes allés tous les deux au temple, et nous sommes allés tous les deux voir les moines et les nonnes. Et des moines et des nonnes sont venus chez moi aussi. Il y a eu beaucoup d’autres moines, je ne me souviens plus de leurs noms. L’abbé d’un temple à Paris, par exemple, comme chùa (Pagode) Khánh Anh. Mon premier professeur Thích Như Điển est même allé à New York pour me trouver. Et l’abbé de la pagode Khánh Anh à Paris est allé me chercher à Taïwan (Formose) lors de la cérémonie pour devenir bhikṣuṇī, une nonne à part entière. Ils m’aimaient tous beaucoup. J’étais très aimée, très célèbre, et j’ai été élue Vice-présidente des bouddhistes et étudiants aulaciens (vietnamiens) en Allemagne par mes propres Maîtres et mes collègues, d’autres croyants bouddhistes.

Puis il a dit que j’étais allée à Taïwan (Formose) pour trouver Thích Tịnh Hạnh. J’y suis allée pour recevoir les préceptes de nonne titulaire, de bhikṣuṇī. Et ils m’ont présentée au Maître Thích Tịnh Hạnh. J’ai aussi écrit à son sujet dans une revue Viên Giác du Maître Thích Như Điển. J’ai écrit sur lui. J’ai écrit très gentiment sur lui et j’ai dit que je vivais là-bas. La sangha bouddhiste taïwanaise (formosane) m’a présentée à Thích Tịnh Hạnh parce qu’il était moine aulacien (vietnamien) là-bas. Ils m’ont donc amenée à son temple pour que je puisse y rester. Et il (Thích Minh Tánh) a dit que Thích Tịnh Hạnh ne m’avait pas reçue. Ce n’est pas vrai. Mon nom, Ching Hai ou Thanh Hải, est donné par la lignée du Maître de Thích Tịnh Hạnh. Ainsi, mon autre Maître m’a donné le nom Thích Thị Nguyện, puis ce Maître Thích Tịnh Hạnh m’a donné le nom de Thích Thanh Hải.

Mais tout se tient. Même toutes les prophéties mentionnaient mon nom. Il fallait que ce soit ce nom. Je devais être à Taïwan (Formose). Je devais être avec M. Thích Tịnh Hạnh pour obtenir ce nom. Je ne savais rien de tout cela auparavant, bien sûr ! C’est donc un autre mensonge. Et après Thích Tịnh Hạnh, j’ai rencontré Maître Sheng Yen, et je suis allée avec lui pour continuer à étudier dans son temple à New York. Il m’avait invitée, en fait. Je l’avais juste rencontré deux fois. Une fois, il était dans le temple de Thích Tịnh Hạnh ; une autre fois, dans son temple. Puis il m’a invitée à l’accompagner à New York : Si je le souhaitais, il ferait les démarches pour que je puisse y aller. J’y suis donc allée. Mais plus tard, je n’ai pas pu rester longtemps à cause du visa – les Américains ne m’ont pas donné de visa pour continuer. Je suis donc restée là-bas un an seulement, je crois, et le visa n’a pas été renouvelé, si bien que j’ai dû retourner à Taïwan (Formose).

Avant cela, j’ai étudié dans différents temples et différentes religions, même le (bouddhisme) tibétain, l’hindouisme, le sikhisme et un peu de jaïnisme. Mais je n’ai jamais étudié la magie. Il a même dit que j’avais étudié la mauvaise magie. C’est un mensonge. C’est un menteur. Même si ce n’est pas un mensonge, il devrait savoir que si vous voulez parler de quelqu’un, en bien ou en mal, vous devez connaître cette personne de fond en comble – sa vie et son histoire, mais tout ce qu’il a raconté ici, sauf que j’étais à Taïwan (Formose) avec Thích Tịnh Hanh, et en Allemagne avec Thích Như Điển, tout est faux, tout est mensonger. Il a tout inventé pour me calomnier.

Je n’ai jamais étudié la magie. J’ai de la magie en moi. Je l’ai découvert plus tard, mais je n’ai pas le droit de l’utiliser. Et dans mon groupe, dans notre Association, je n’ai permis à personne d’utiliser la magie, sauf une ou deux fois où nous en avons parlé – c’est tout. Mais personne n’est censé utiliser la magie dans notre Association, dans notre croyance religieuse. Vous pouvez demander à n’importe lequel de mes disciples, et ils vous le diront. N’importe lequel d’entre eux. Choisissez n’importe lequel d’entre eux.

Et lui (Thích Minh Tánh), il a également attaqué mon (apparence) physique. C’est quelque chose – je vous l’ai déjà dit – ce n’est pas un truc de moine. Ce n’est pas de la compassion. Ce n’est pas courtois.

Apr. 12, 2021, Thích Minh Tánh: Le sikhisme est plein de pouvoirs mystiques et de pratiques ésotériques. (Oh, l’apprentissage des pouvoirs magiques). Il étudie ce qui est considéré comme de la magie noire, (Oui.) à propos des pratiques occultes. C’est ce qu’Elle a appris. La nonne Ching Hai a étudié si dur que sa bouche est devenue tordue, une bouche tordue.

Vous pouvez donc voir qu’il n’est pas un vrai moine. Et dans sa poésie, il parle comme s’il était très aimant et gentil, mais il m’a calomniée de bout en bout. Je ne veux pas en parler. Normalement, je ne lis même pas tout cela, mais ils me l’ont envoyé par la suite. Je l’ai donc lu à présent, il y a quelques jours, il n’y a même pas six mois ou deux, trois mois.

Il ne connaît rien au bouddhisme. Il a juste appris par cœur de nombreux Noms de Bouddhas pour impressionner les personnes vulnérables, celles qui n’ont pas eu le temps d’étudier les sutras. Et il a dit que j’étais allée dans la... peut-être voie hérétique. Et il est allé vers le bouddhisme, mais il ne connaît pas grand-chose au bouddhisme. L’essentiel est qu’on n’attaque pas d’autres personnes qui n’ont rien fait de mal à notre égard ou à l’égard de qui que ce soit. Et vous ne savez rien de ce que cette personne enseigne aux autres, ni de l’influence qu’elle exerce sur autrui. Tout ce que je fais, c’est enseigner aux gens au moins les 5 Préceptes de base : Ne pas mentir ; ne pas voler ; ne pas avoir de relations sexuelles illicites ; ne pas consommer de drogues, d’alcool, pas de jeux d’argent, etc. ; et on ne tue pas et on ne fait pas de mal à autrui. Ahimsa, la non-violence. Il n’y a rien de mal à cela, et ce n’est pas de la magie.

On n’utilise pas la magie dans notre groupe. Pour moi aussi, c’est interdit. Je ne l’ai utilisée qu’une seule fois pour mon chien-personne, pour le guérir parce que tous les médicaments ne l’aidaient pas et qu’il était en train de mourir. Il ne pouvait même plus marcher. Et je ne pouvais pas le porter pour faire ses besoins, car je suis trop petite. Il était aussi grand que moi. Vous connaissez ce chien-personne – mon tendre Good Love, qui me protège encore aujourd’hui. Si je voulais utiliser mon pouvoir magique, ce moine (Thích Minh Tánh) serait mort, ou quelque chose de mal lui serait arrivé. Je ne pourrais pas, je ne voudrais pas, et vous le savez.

Tout le monde peut réciter Namo Bouddha Amitābha, Namo Bouddha Shakyamuni, peu importe. Je leur ai dit qu’ils pouvaient étudier la méditation avec moi tout en restant fidèles à leur religion. En fait, c’est ce que je viens de vous dire. Et je vous l’ai déjà dit plusieurs fois. Auparavant, en effet, j’ai appris aux gens à réciter le Nom de leur Fondateur religieux ou les Noms des Bouddhas ou des Saints. Je ne demandais pas de réciter « Nam Mô Thanh Hải Vô Thượng Sư. » C’est également un mensonge. Il a dit que je « force mes disciples à réciter ce nom », à réciter mon nom : « Nam Mô Thanh Hải Vô Thượng Sư ». Je ne l’ai jamais fait, jamais.

Apr. 12, 2021, Thích Minh Tánh: La nonne Ching Hai a suivi la voie du mal – je le dis carrément. Et j’ai suivi la voie bouddhiste. Nous suivons chacun notre propre voie. Mais je me soucie encore de la Nonne Ching Hai. Elle a beaucoup de talent, mais Elle s’est égarée, s’autoproclamant, au lieu de réciter « Namo Bouddha Amitābha », « Namo Bouddha Shakyamuni », ou « Namo Bodhisattva Quan Yin ». Elle fait chanter à Ses disciples « Namo Maître Suprême Ching Hai » comme si aucun enseignant au monde n’était plus élevé qu’Elle. Elle a prétendu être le Suprême, être le Bouddha. « Namo Maître Suprême Ching Hai. »

Mes soi-disant disciples me demandent : « Quand ils ont des problèmes pendant la méditation, que faire ? » Je réponds : « Dans ce cas, appelez-moi. Je viendrai vous aider. » C’est tout. « Appelez mon nom. Je suis tout près. » C’est tout.

Certaines personnes l’ont déjà fait et ont dit que ça les avait aidées. Alors j’ai dit : « Continuez. » Ensuite ils écrivent ce genre de « Namo Ching Hai Wu Shang Shih » en chinois, à Taïwan (Formose), et ils le mettent sur leurs voitures et courent partout à Taïwan (Formose). Et cela incite les gens à l’extérieur à réciter mon nom aussi, qui ne sont pas végans, qui ne prennent pas les Cinq Préceptes, qui ne sont pas assez purs, et ils récitent mon nom pour demander peut-être quelques faveurs mondaines. Cela me donne beaucoup de karma. C’est pourquoi je supplie même mes disciples: « Svp, arrêtez cela. Ne mettez plus ce slogan sur votre voiture et ne dites plus cela aux gens. Ils doivent s’aider eux-mêmes. Ils doivent d’abord être purs. Sinon, ça ne marche pas, et ça m’embête simplement beaucoup. » Tous ceux qui m’appellent et qui ne sont pas assez purs me causent alors des ennuis bien sûr.

Mais je suis un Bouddha, ce n’est pas un mensonge. Je ne suis pas qu’un Bouddha, mais suis aussi autre chose que je ne veux pas encore vous dire. Je suis aussi 轉輪聖王 (Roi Tourneur de la Roue du Dharma). Tout l’Univers le sait. Si vous ne me croyez pas, allez demander au Bouddha, demander aux anges, demander aux Saints et aux Sages, aux Bodhisattvas – à tous ceux que vous connaissez – Ils vous diront que je suis un Bouddha. Je suis le Bouddha Maitreya et je suis le Roi Qui fait tourner la Roue du Dharma. J’ai besoin de tout cela pour prendre soin de notre monde en ce moment. Personne d’autre ne peut le faire pour le moment. Et c’est la vérité que je vous dis. Croyez-le ou non. Je dois vous dire la vérité parce qu’il s’agit de quelque chose d’important. Je ne suis pas fière d’être un Bouddha ou quoi que ce soit. Je n’arrête pas de fuir le danger et les mauvaises personnes – des méchants comme ce Thích Minh Tánh ici. Il ne sait rien de personne. Il n’étudie pas beaucoup. Il parle beaucoup, une grande gueule, juste pour attirer l’attention. Et beaucoup de gens le croient, bien sûr, parce que c’est un moine, un soi-disant moine.

Quel genre de moine porte un kāṣāya (robe de moine) si coloré ? Pour quelle raison ? Bouddha n’a jamais porté cela. Et aucun autre bon moine ne porte cela. D’autres moines ne sont peut-être pas encore très éclairés, mais ils ne portent pas ce genre de soutane multicolore, juste pour attirer l’attention sur eux. Vous n’êtes pas un acteur ou une actrice de théâtre. Vous n’avez pas besoin de toutes ces couleurs. Pour quoi faire ? À moins vraiment de beaucoup l’aimer. Toutes sortes de couleurs... Et c’est beaucoup de travail pour le tailleur. Il doit découper différentes couleurs à partir de toutes sortes de tissus, et cela lui prend beaucoup de temps. Et il abîme en même temps beaucoup de belles et grandes étoffes, parce qu’il faut couper un seul petit morceau de chaque étoffe. Cela abîme donc beaucoup de tissus. C’est un gaspillage de tissu. Il est inutile de faire cela. Je n’en vois pas l’intérêt.

Je ne suis pas fière de dire que je suis un Bouddha. Je suis un Bouddha, et si vous vous repentez et revenez à votre Nature originelle, à la pureté et à la compassion, en étant végan, repentez-vous simplement auprès de Dieu Tout-Puissant, de tous les Bouddhas, de tous les Maîtres, les Bodhisattvas, alors je vous pardonnerai, au nom de Dieu, au Nom de tous les Bouddhas ; J’ai le Pouvoir de sauver votre âme, de vous sauver de l’enfer et c’est la vérité. Si c’est un mensonge, tous les Bouddhas me frapperont à mort, je ne deviendrai plus jamais un seul morceau. Je ne suis pas un Bouddha autoproclamé, – je suis un Bouddha. À l’origine, je ne voulais même pas le dire, mais Dieu et tous les Bouddhas m’ont dit que je devais le faire en cette période d’urgence mondiale.

Je n’ai jamais autoproclamé que mon nom était Ching Hai ; ce nom m’a été donné par Maître Thích Tịnh Hanh à Taiwan (Formose). Après cela, il m’a envoyé prendre les préceptes de bhikṣuṇī, Et j’ai continué à rester avec lui dans ce temple jusqu’à ce que Maître Sheng Yen – Thích Thánh Nghiêm – m’invite à aller à New York et tout le monde sait cela – Maître Thích Tịnh Hạnh, ainsi que tous les disciples, tous les moines et les nonnes connaissent cette histoire. Je ne peux pas donner ce nom moi-même ; je ne savais même pas que j’avais besoin d’un autre nom. J’ai déjà un autre nom, Thị Nguyện, de Thích Như Điển, mon premier Maître.

Il (Thích Minh Tánh) a donc raconté tous ces mensonges, tous ces mensonges, juste pour me rabaisser, parce qu’il a tellement peur de ma célébrité et de l’amour que les gens m’offrent partout où je vais, et de l’amour de mes soi-disant disciples, c’est pourquoi il a tellement peur. Il faut même qu’il monte sur scène pour me calomnier carrément comme ça.

Et il est venu déranger cette belle présentatrice de cette belle chaîne – que j’ai connue pour la première fois il y a six mois, plus ou moins – juste pour lui faire perdre son temps, pour faire perdre le temps des téléspectateurs, juste pour l’écouter me réprimander, me calomnier. Mais qu’ai-je fait à qui que ce soit ? Ai-je appris aux gens à voler, à tuer, à faire de mauvaises actions ? Non ! J’ai enseigné toutes les bonnes choses : qu’il faut être filial envers vos parents, qu’il faut être honnête, qu’il faut aller gagner sa vie. Et je gagne ma vie même pour aider les pauvres gens.

Quelques exemples de dons de Maître Suprême Ching Hai à de bonnes causes dans le monde & Estimation du total des contributions pour la période 1989-2024

Etc...

Total estimé* : De janvier 1989 à septembre 2024 76 369 822 $US (plus d’autres non listés ici) (Ces estimations n’incluent pas de nombreux autres dons que Maître a fait discrètement ou spontanément, sans documentation, ou pour lesquels nous avons perdu la trace des reçus, ni n’incluent les nouveaux dons faits depuis que ces calculs ont été faits.)

Maître Suprême Ching Hai (végane) est « profondément reconnaissante en tant qu’humble vaisseau, envers le Bien-aimé Dieu Tout-Puissant, pour toute aide accordée à Ses précieux enfants. »

Je n’ai jamais rien fait de mal, alors il me calomnie simplement parce qu’il est jaloux, clairement. Je ne peux penser à rien d’autre, et s’il proclame qu’il était mon ami proche auparavant, je jure honnêtement devant Dieu que je ne me souviens pas du tout de lui. Je n’ai jamais connu un tel ami. En fait, je n’ai jamais eu d’ami proche, pas un ami proche comme lui. Je ne le connais pas ! Il doit être si jaloux de moi qu’il est devenu si haineux dans son cœur qu’il ne peut pas se contrôler en tant que moine, disant tous ces mensonges pour me dégrader, afin de s’élever ou autre. Il est trop jaloux parce que j’ai peut-être été tellement aimée par les gens et mes disciples, peut-être. Je n’ai jamais rien enseigné de faux dans toutes mes conférences, pendant toutes ces décennies.

Mais bon, je ne le déteste pas, je souhaite qu’il comprenne un jour les choses et qu’il ait une meilleure évolution, qu’il s’élève au-dessus du statut de démon pour devenir humain et devenir un saint ; doit se repentir. Il doit d’abord se repentir, puis faire demi-tour. Et il doit couper son tham, sân, si (avidité, colère, ignorance) et sa jalousie. La jalousie est aussi tham, sân, si – avidité, colère. Ce n’est pas seulement de la colère, c’est de la vraie violence. Et puis non vertueux, surtout pour un moine. Je lui conseille de revenir à une vie plus simple, plus compatissante, de ne pas trop courir après la gloire et la fortune. Sinon, le temps passe si vite et il est déjà vieux – il ferait mieux de s’occuper de sa prochaine vie, sinon l’enfer lui apprendra, et c’est très douloureux.

Il devrait s’instruire lui-même. Il ne devrait rien m’apprendre. Il ne sait rien, et il raconte tous les mensonges comme ça. Comment les gens l’écouteraient-ils ? Comment écouterais-je un menteur ? Comment puis-je étudier avec un moine qui ment ? Je ne sais pas combien d’autres font l’objet de ses mensonges, de combien d’autres personnes il prétend être l’ami ou prétend connaître afin de devenir célèbre. Mais je sais cela de moi parce qu’il parle de moi. Que des mensonges, 99,9 %, sauf mon nom, Thanh Hải.

Il a même dit : « Je l’ai étreint et je lui ai dit que je l’aimais. » Oui, je lui pardonne et je l’aime. Et que Dieu le bénisse. Que le Bouddha sauve son âme parce qu’il est si lourd, si lourd de péchés. C’est pourquoi son aura est si sombre. J’espère qu’il ne contamine pas les gens qui l’approchent. Car les travailleurs de maya ont cette sorte d’obscurité en eux. Parfois, ils peuvent manifester un peu de lumière juste pour tromper les gens. Mais la plupart des gens qui ont le Troisième Œil ouvert, qui ont un pouvoir psychique, verront son aura – très sombre. Pas tout à fait noire, mais d’un brun café, et elle a des trous à l’intérieur. C’est l’une des pires choses que l’on puisse avoir, à part le noir.

Il n’arrête pas de dire qu’il m’aime. Je ne le connais même pas, mais merci de ton amour. Mais tu continues à dire que tu aimes quelqu’un et tu continues à La calomnier, à parler de Sa vie privée et même de Son nom privé et tout ça. Ce n’est pas mon nom privé. Mais même si c’était le cas, il n’aurait pas dû faire cela. Je dois dire que c’est très, très grossier, et que c’est un type de caractère très bas. Et je ne m’en excuse pas. Il l’a mérité, il a commencé.

Je ne l’ai jamais connu. Je ne sais pas pourquoi il a dû me traîner dehors, salir mon nom, le noircir et dire toutes sortes de choses fausses à mon sujet. Je ne comprends pas. Et s’il peut lire l’anglais ou l’aulacien (vietnamien), il doit savoir que j’enseigne toutes les bonnes choses. Je parle aussi des Bouddhas. Toutes sortes de Sutras bouddhistes, toutes sortes d’Histoires bouddhiques que j’ai lues à mes soi-disant disciples pendant toutes ces décennies. Je n’ai pas besoin qu’il m’appelle « Bouddha ou moine ou nonne ». Je n’ai pas besoin de son accord pour faire ce que je fais.

Nous avons tous la liberté de vivre notre vie, mais pas la liberté de calomnier autrui, de calomnier pour rien, sans raison. C’est interdit dans les lois physiques, dans les lois nationales, sans parler du fait d’être un moine ayant 250 préceptes. Les gens vous appellent « sư phụ », ce qui signifie « maître » et « père ». Et tu parles comme ça d’une petite fille innocente, même si Elle n’est pas nonne. C’est une petite fille, inoffensive, innocente, et tu parles comme ça ? Tu La calomnies, tu La dégrades, tu La traites de tous les noms et tu sors Son nom privé, ou n’importe quoi d’autre. Pour quelle raison ? Qu’est-ce qu’Elle t’a fait, à toi ou à n’importe qui d’autre sur cette planète ? Rien. Elle ne fait qu’aider les gens financièrement, spirituellement, physiquement – tout ce qu’Elle peut. Les moines comme toi, si tu es vraiment un moine, sont une honte pour notre pays Âu Lạc (Vietnam). C’est une honte pour la réputation internationale de notre pays de produire un tel soi-disant moine comme toi. Tu devrais donc d’abord t’examiner toi-même avant de calomnier quelqu’un d’autre.

Là, vous savez, de nombreux mensonges. Beaucoup de menteurs dans ce monde. Certains mentent pour la pire des causes – amener les gens à tomber en enfer. C’est le pire mensonge que vous puissiez faire. Et ces hommes, Trần Tâm et Huệ Bửu, je les ai sauvés tous les deux plusieurs fois – deux fois au moins que certains témoins ont vues. D’autres fois, personne n’a vu, parce que personne n’était avec moi. Mais plus de deux fois déjà, et ils ne se sont toujours pas repentis. Parce que sauver [un être] dans le monde astral est différent de sauver dans le monde physique. Sauver dans le monde physique est facile. Tout le monde peut le voir ; peut-être que vous êtes blessé ou mort, les gens vous soignent et vous font vivre à nouveau. C’est différent pour le corps astral. Vous devez aller dans le Monde Astral pour le voir. Et le corps physique de cet être astral ne sait même toujours pas qu’il est puni en enfer. C’est là le problème.

Mais il mourra bientôt. De telles personnes ne vivent pas longtemps ; ils mourront et alors ils le sauront. Ils pourraient être physiquement malades et tout cela, mais ils ne comprendront pas que cela a quelque chose à voir avec la punition astrale en enfer. Voilà ce qu’il en est. C’est pourquoi de nombreux êtres humains ne savent pas ce qu’ils ont fait de mal, et qu’ils sont déjà punis et emprisonnés, ou qu’ils brûlent déjà en enfer, jusqu’à ce qu’ils quittent leur corps physique. C’est alors qu’ils le sauront. Il sera alors trop tard.

Donc, je vous préviens tous, humanité, s’il vous plaît, l’enfer existe. Et même si vous êtes encore en vie physiquement, votre corps astral est déjà en enfer, attendant simplement que vous abandonniez votre corps, et alors vous saurez tout, vous verrez tout. C’est le corps qui vous empêche de voir les mauvais mondes, mais aussi les bons Cieux. C’est pourquoi les humains vivent de manière si ignorante. Quel dommage ! S’il vous plaît, réveillez-vous, s’il vous plaît, s’il vous plaît. Croyez-moi, je n’ai rien à gagner à vous dire toute la vérité. Svp, réveillez-vous. Repentez-vous. Soyez végans. Maintenez la paix. Faites de bonnes actions. Trouvez un Maître si vous voulez rentrer à la Maison. Trouvez un Maître vivant, éclairé et digne. Ne vous contentez pas d’écouter leurs discours. Voyez leurs yeux, voyez ce qu’ils font. Et jugez-les correctement avant de leur confier votre cœur.

Vous n’avez pas besoin de croire en moi ou de me suivre. Suivez simplement votre cœur. Allez trouver un Maître et prenez refuge en Lui ou en Elle. Ou trouvez un moine et récitez le Nom du Bouddha Amitābha avec lui, car si ce moine est saint et sincère dans sa pratique, il vous prêtera un peu de son énergie. Si vous êtes bon avec lui, il vous protégera. Il vous emmènera haut. Vous ne dépasserez peut-être pas encore le Troisième Niveau, mais vous aurez au moins une chance de rencontrer d’autres Maîtres dans les Cieux supérieurs. Et vous pourrez alors en apprendre davantage, au lieu d’aller en enfer ou de retourner dans le monde physique turbulent, qui vous embrouillera, vous dégradera, vous aveuglera et vous entraînera dans toutes sortes d’activités et de situations préjudiciables, au point que vous oublierez Dieu, vous oublierez le Bouddha, vous vous oublierez vous-mêmes. C’est là le problème.

Alors veuillez trouver un Maître. Ou trouvez un moine, n’importe quel moine qui est vraiment sincère et qui croit aux Bouddhas. N’écoutez pas les moines qui disent que la Terre d’Amitābha n’existe pas. Vous savez que Bouddha Shakyamuni a raconté cette histoire, qu’Il a parlé en détail à la Reine emprisonnée de la Terre du Bouddha Amitābha. Bouddha Shakyamuni ne peut pas mentir. Pourquoi quelqu’un mentirait-il à ce sujet ? On a donc la chance d’avoir encore ce Sutra de Bouddha Amitābha. Trouvez-le, imprimez-le, lisez-le, achetez-le, empruntez-le, copiez-le, faites ce que vous pouvez. Récitez le Nom du Bouddha Amitābha jour et nuit. Si vous ne pouvez rien faire d’autre, si vous n’avez de temps pour rien d’autre – Bouddha Amitābha, Bodhisattva Quan Yin, sont votre refuge. S’il vous plaît, je vous le dis de tout mon cœur. Je veux juste vous sauver, et comme vous ne me faites pas confiance, je vous dis beaucoup d’autres choses, juste pour vous.

Vous n’êtes pas obligé de croire en moi. Vous n’avez pas à me suivre. Faites simplement quelque chose. Sinon, nous n’avons plus beaucoup de temps pour discuter de qui est bon et de qui ne l’est pas. Prenez simplement soin de vous. Priez Dieu, priez les Bouddhas en qui vous avez confiance. Il y a de nombreux Bouddhas dans le monde ; c’est juste que Bouddha Amitābha est Le plus facile à approcher pour vous. Grâce à Son vœu de Miséricorde, Il vous sauvera si vous L’invoquez. Prenez donc l’habitude ; invoquez-Le afin de vous souvenir de Lui au moment où vous quitterez ce faux monde. Il vous ramènera dans votre vraie Maison !

N’allez pas suivre n’importe quel moine, qui est même célèbre, ou qui est moine depuis longtemps déjà ou qui est suivi par de nombreux nonnes et moines. S’il ne croit pas en Bouddha Amitābha et s’il dit que l’enfer n’existe pas, comme ce Thích Nhật Từ, alors il est maya. Il travaille pour la force négative. Il n’est pas bon pour vous. S’il vous plaît, suivez n’importe quel Maître qui croit aux Bouddhas, qui croit vraiment que la Terre du Bouddha Amitābha existe. Je vous garantis qu’elle existe. Je connais cette Terre. Même beaucoup de mes disciples connaissent cette Terre. Nous pouvons y aller et venir. Croyez-le, s’il vous plaît. S’il vous plaît, croyez en Bouddha Amitābha, comme Bouddha Shakyamuni vous l’a dit. Vous devez Le croire. Et l’enfer existe vraiment – pas comme Thích Nhật Từ, qui dit que l’enfer n’existe pas et qu’il n’a été mentionné que 500 ans après le Bouddha. Non.

Dès l’époque du Bouddha déjà, le Bouddha a dit cela. Et bien avant cela, dans le Sutra Kṣitigarbha aussi – vous savez, Địa Tạng Vương, Kinh Địa Tạng Vương Bồ Tát – tous les enfers sont expliqués clairement, en détail, dans ce sutra. Vous pouvez lire tout cela. Et de nos jours, dans le I-Kuan Tao ou dans d’autres croyances religieuses, ils vont également en enfer – ils visitent l’enfer pour revenir et écrire des choses sur l’enfer. Et ils vont aussi au Paradis – ils visitent le Paradis et reviennent pour écrire des livres. Des livres sur l’enfer, des livres sur le Ciel – vous pouvez les obtenir n’importe où auprès des vrais transmetteurs de l’enfer et du Ciel, auprès du Bouddha Ji Gong – Tế Công, Phật Sống Tế Công. Le Bouddha vivant Ji Gong est allé en enfer et au Ciel pour revenir et aider le transmetteur à écrire tout cela pour vous. Faites des recherches, s’il vous plaît. L’enfer existe vraiment ! Je jure devant tous les Bouddhas et Dieu Tout-Puissant que je vous dis la vérité. N’attendez pas d’y aller pour la vérifier et me dire que j’ai raison. Je ne le veux pas. S’il vous plaît, l’enfer est horrible ! C’est une souffrance sans fin. S’il vous plaît, visez le Paradis. Visez la Terre du Bouddha.

Certains pourraient penser que Thích Nhật Từ ne conseille rien de mal aux gens, comme d’aller voler, tuer ou faire quoi que ce soit de mal. Dire qu’il n’y a pas de Terre du Bouddha Amitābha ni d’enfer, c’est déjà la pire des choses, pire que tous les crimes qu’il peut commettre envers les fidèles. Car briser ainsi la foi des gens les rend vulnérables à l’attaque du négatif. Parce qu’ils seront vides. Ils n’auront nulle part où courir. Ils n’auront nulle part où s’appuyer. Et si les gens croient qu’il n’y a pas d’enfer, alors ils iront faire n’importe quelle mauvaise chose au système gouvernemental, à la société, aux gens, à leurs voisins, à leur famille, parce qu’ils croient qu’il n’y a pas d’enfer. S’ils croient en Thích Nhật Từ, ils feront tout ce qu’il y a de mal. Personne n’a besoin de leur dire de faire le mal, ils le feront. C’est donc le pire crime que vous puissiez commettre lorsque vous niez la Terre du Bouddha et niez l’enfer. C’est pourquoi je vous dis : Restez à l’écart de ce genre de personnes.

Photo Caption: Viser haut, ce qui est en dessous, ne vous en souciez pas !

Télécharger la photo   

Partager
Partager avec
Intégré
Démarrer à
Télécharger
Mobile
Mobile
iPhone
Android
Regarder dans le navigateur mobile
GO
GO
Prompt
OK
Appli
Scannez le code QR
ou choisissez le bon système à télécharger.
iPhone
Android