Je ne vis pour rien d'autre. Je ne vis que pour ça. Pour le bien-être du monde, pour que les animaux souffrent moins. Je ne vis pour rien d'autre. C'est vraiment comme ça. Et les Dieusses savent que j'ai dit la vérité. Les Dieusses sont mes témoins.
Merci à vous tous, de faire du bon travail. Bien sûr, nous avons le monde entier derrière nous, je veux dire le monde entier de frères et de sœurs qui s’occupent de ces choses, mais je vous remercie aussi car vous avez vraiment consacré votre vie. Je l’ai dit à maintes reprises, mais je tiens à le répéter encore une fois. Comme un couple amoureux doit toujours se dire : « Je t’aime » sinon elle oublie. Le jour du mariage et tout ça, il faut se le rappeler. Je veux vraiment vous dire merci. Merci. Merci beaucoup.
À Valence, ils disent « grazias. » Et habituellement on dit : « gracias. » À Valence, ils tirent la langue, je ne sais pas pourquoi. Ça me causait des problèmes tout le temps quand j’y allais. Ma langue, j’oublie… Mais ils comprenaient. Même si vous ne tirez pas la langue, ils comprennent quand même. Surtout quand vous inclinez un peu la tête et ils savent que vous êtes reconnaissant. J’apprécie que vous ayez décidé de consacrer votre vie et de faire de bonnes choses pour le monde. Mais c’est du gâteau pour vous, non ? (Oui.) Vous les gars êtes accros aux ordinateurs de toute façon, non ?
Vous adorez les machines. Les hommes, des trucs de macho. La machine est… Oui ! Quand j’étais à l’extérieur, j’ai entendu des femmes se plaindre. Elles disent : « Oh, mon mari, il aime la voiture plus qu’il ne m’aime ! Tous les jours, il prend soin de la voiture, il la nettoie et il la polit et il la couvre. Moi, il ne me couvre même pas, il s’en fiche. La nuit (quand) nous dormons, il prend ma couverture. » Ce n’est qu’une blague, mais c’est vraiment comme ça. Les hommes aiment les autres choses plus que les femmes. On a parfois l’impression qu’ils aiment les femmes plus qu’autre chose, mais ce n’est pas vrai. Je ne pense pas. Je pense qu’ils aiment les choses plus que les femmes. C’est juste qu’ils ont parfois besoin des femmes, pour cuisiner ou autre, ou juste pour montrer qu’ils ont une femme, mais ils ne s’en soucient peut-être pas beaucoup.
Ça fait bien. Ce n’est pas un rouleau de printemps ; ce sont des rouleaux d’été (végans). Différent. Peu importe. Bien, bien. Si les plats viennent, mangez quand c’est chaud. Et on parle et… Parce que vous écoutez avec vos oreilles, pas votre bouche. C’est moi qui doit garder la bouche libre, alors profitez-en avant que ça ne refroidisse. Je mange quand je peux, quand vous ne regardez pas.
Une chose importante, je veux dire cela… En fait, avant, je voulais vous remercier. Ces jours-ci vous faites du bon travail. Quand je suis en retraite, je ne peux pas m’occuper du monde, je veux dire physiquement, ou par travail ou par note, ou autre. Je note, mais je l’ai toujours. Je ne peux pas vous la donner à moins qu’il ne s’agisse d’une urgence. Donc, quand je suis en retraite, je ne peux m’occuper que de moi-même, de mes intérêts. Je pourrais même regarder des films si je voulais, mais je ne le fais pas. Je veux dire un très bon film, comme un film spirituel ou quelque chose de ce genre.
Mais je ne regarde jamais de films en retraite. De temps en temps, je regarde peut-être ma propre conférence. Ou quelque chose qui n’est pas trop mondain comme un musical, quelque chose comme ça, ou une vraie émission spirituelle. Mais autrement, non. J’ai vu une émission cette semaine, elle s’appelait quelque chose comme « Six Paramitas, » les six perfections. La bande annonce était si ouah ! J’ai dit : « Mon Dieu, je ne peux pas croire que les Taïwanais (Formosans) fassent un si bon travail ! » Exactement comme Broadway. J’ai vu les magnifiques décorations, et tout était parfait ! Mais je ne l’ai toujours pas regardé, parce que trop de gens y figuraient. Dans ma retraite, je ne veux pas voir beaucoup de gens, même rien qu’à l’écran, même des gens déjà morts. Alors, je la regarderai plus tard si j’ai le temps quand je vérifierai les émissions passées, diffusées, mais peut-être que je la regarderai. Vraiment bien. Une autre émission était bonne. Je voulais récompenser les Aulaciens (Vietnamiens) avec quelque chose. Je ne sais pas comment. Peut-être que vous pouvez m’aider avec ça et m’informer. Il y a un groupe qui a fait l’émission appelée : « Le roi Lý Thánh Tông. » Le groupe de danse avant, ils ont aussi fait du bon travail. Pour des Aulaciens (Vietnamiens), c’est parfait. Je veux les récompenser avec quelque chose, comme de l’argent, qu’ils puissent en faire ce qu’ils veulent . C’était vraiment une bonne émission.
Beaucoup d’autres émissions, vraiment, je me suis sentie si mal, c’est pourquoi j’ai dit avant : « Non, non ! Je ne veux plus d’Aulaciens (Vietnamiens). » Ils semblent juste porter de beaux habits et puis ils se déplacent un peu comme ça. Ils ne s’entraînent même pas bien. Vous pouvez le voir par la souplesse du corps qu’ils ne se sont pas entraînés longtemps. C’est un non-non. Si on montre quelque chose au monde, on doit le faire parfaitement. Par respect. C’est pour cela que ces émissions, je n’en voulais plus. Mais comme les « Six Paramitas » c’est bien. Les Taïwanais (Formosans) étaient vraiment parfaits. Je n’ai pas tout vu. Bien sûr, je n’ai vu que la bande annonce. Parce que j’étais en retraite, je ne pouvais pas regarder. Mais je pense que c’est parfait. Et l’Aulacien (Vietnamien) pour Lý Thánh Tông. ça c’était bien. Peut-être une ou deux émissions avant aussi, il y a longtemps, j’oublie. Parce que ce genre d’émission, on devrait les montrer. Je ne veux pas critiquer, mais nous devons être vraiment, vraiment critiques de nous-mêmes. Si nous voulons montrer au monde quelque chose, nous devons le faire avec cœur. Et si nous ne pouvons pas, alors il vaut mieux ne pas le faire. Compris ? (Oui.)
Bon appétit ! ( Bon appétit. ) Bon appétit. ( Merci. ) Elle rit toujours quand je lui parle en espagnol. J’ai dit : « Ne ris pas, s’il te plaît, je pourrais penser que je parle mal. » Elle dit : « Non, Maître ! Parfait ! Très bien, très bien ! » Santé ! (Santé !) (Santé, Maître.) Pas encore ? Ça prend trop de temps. Venez ! Hé, tout le monde en a. Santé. ( Santé, Maître.) Vive Supreme Master TV ! (Vive Supreme Master TV !) Et que Dieu bénisse tout le personnel, y compris ceux qui ne sont pas ici. Je veux organiser un jour. Il faut un peu plus de temps pour le préparer, peut-être quand il fera beau et tout ça. Quand le temps est-il meilleur ici à Taïwan (Formose) ? Peut-être en août ? (Octobre. Même en octobre, il fait chaud.) Octobre ? Il ne fait ni trop chaud, ni trop froid. Fait-il trop chaud en août ? (Oui.) Et octobre ou septembre ? Toujours chaud ? (Il fait encore assez chaud.) Octobre est bien ? (Oui.) Écoutez, pourquoi n’organiserait-on pas un rassemblement en octobre ? Début d’octobre, plus ou moins ? La première semaine C’est bon aussi, parce que Thái Tú Hòa est décédé le premier octobre. On offre aussi peut-être cette semaine. Tous ceux de Supreme Master TV du monde entier peuvent venir ici. S’ils n’ont pas les moyens de payer le billet d’avion, veuillez l’acheter pour eux.
Je me sens aussi très triste de ne plus pouvoir beaucoup voyager à cause de mon travail, à cause de ma santé, ou à cause du prix du carbone de l’avion, alors je ne peux aller nulle part et voir des gens que j’aime vraiment, comme les artistes, les artistes américains. Vous pouvez peut-être aussi organiser cette journée, ils peuvent venir ensemble ? Car nous sommes aussi des artistes, les gens de Supreme Master TV sont aussi des artistes. Nous pourrions alors les inviter aussi, à venir ici. Nous paierons pour tout, les frais. Ils viennent ici et passent une journée avec moi, les artistes qui ont travaillé avec nous toutes ces années. Fred Karlin. Il est déjà décédé. C’est très triste. C’était un homme si doux, si gentil. Je l’aimais. Mais tous ceux qui voudraient venir et qui peuvent venir, en octobre, nous avons encore beaucoup de temps pour l’organiser. Ils peuvent organiser cela, non ? J’espère. Et vous pouvez leur écrire un par un, tous les artistes au fil des ans, qu’ils soient américains, ou aulaciens (vietnamiens) ou chinois ou coréens ou autre, ou iraniens. (Oui, Maître.) Veuillez leur écrire et leur dire que nous les invitons. Le 1er octobre, qu’en pensez-vous ? Facile à retenir. (Oui.) C’est bon ? (Oui, Maître.) Juste pour un rassemblement, un rassemblement d’amis. J’aimerais beaucoup cela. J’y pense depuis des années, mais je n’ai jamais eu la chance de vraiment, vraiment y réfléchir. J’y ai pensé, mais je n’avais pas le temps d’y réfléchir. Ces derniers jours, j’ai donc eu plus de temps de retraite alors je me suis dit : on doit faire quelque chose. J’aimerais bien. Juste parce que je les aime, sans autre raison. Ils n’ont pas besoin de jouer quoi que ce soit pour moi. S’ils veulent, ils peuvent le faire. Organisez toute la journée pour eux. N’importe qui peut venir et chanter ou dire n’importe quoi. Supreme Master TV, ils ont du talent, mais pas toujours du talent d’artiste de scène. Peu importe, ils peuvent monter et dire des sottises, nous faire rire avec certaines de leurs bêtises. Tout le monde, pas seulement les artistes, ils peuvent tous venir. Nous allons préparer une scène ; tout le monde peut juste s’inscrire sur la liste et ensuite ABC, de A à Z, pour qu’ils ne pensent pas qu’on fait une discrimination entre eux, un bon artiste et un mauvais artiste. Tout le monde peut juste… Même vous tous pouvez aussi venir, faire du stand-up, ou du sit-down, un humoriste sit-down. Normalement, c’est de stand-up.
Mangez, s’il vous plait. Je parle trop ! Mon calendrier recommence. Profitez. (Merci, Maître.) Vous remerciez les dieux. Remerciez tous ceux qui sont impliqués dans ce beau repas, les dieux et les humains.
Vous tous, prenez bien soin de vous avant que ça ne devienne mauvais. Vous comprenez ? (Oui.) Surtout, prenez bien soin de votre pureté à l'intérieur. À l'intérieur, si vous êtes pur, vous pouvez surmonter beaucoup, beaucoup de maladies, de nombreux obstacles et problèmes. Beaucoup de karma aussi. Parce que la plupart du karma, Maître s'en est déjà occupé. Il y en a juste un petit peu. Alors, veillez à être pur à l'intérieur, dévouez votre vie, vraiment. Ayez simplement envie de déterrer ce maya et le jeter à l'intérieur de la fosse quelque part. C'est ce que nous devrions faire. Faites-le tomber ! Et élevez le monde ! Ne gardez que cette chose à l'esprit. Rien d'autre, d'accord ? Tout le reste peut aller et venir, réel ou faux, mais votre objectif reste le même. Donnez un coup de pied au maya, élevez le monde. Répétez ! Trop occupé à manger. Bottez le maya, élevez le monde.
Je suis heureuse d’avoir la chance de vous regarder. J’ai oublié à quoi vous ressembliez. Je suis désolée que certains d’entre vous aient dû partir. Enfin, certains ont dû partir. Leur destin est peut-être ainsi. Ils ne peuvent pas être près de moi. Car s’ils sont près de moi, ils gâchent tout. Quand ils ne sont pas près de moi, ils font un travail parfait. Je ressens ça parfois, certains d’entre vous, je veux dire certains d’entre eux. Peut-être plus tard, leur karma changera.
Nous pouvons changer notre destin si nous sommes déterminés à atteindre le noble objectif que nous souhaitons atteindre. Vraiment nous le pouvons. Et si nous ne pouvons pas, au moins nous avons ce noble objectif pour lequel mourir et avec lequel mourir. C'est ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue –rien d’autre. Je ne vis pour rien d'autre. Je ne vis que pour ça. Pour le bien-être du monde, pour que les animaux souffrent moins. Je ne vis pour rien d'autre. C'est vraiment comme ça. Et les Dieusses savent que j'ai dit la vérité. Les Dieusses sont mes témoins. Je ne mens pas. (Oui, Maître.) Vous savez. Pour quoi faire ? Pour quelle raison devrais-je dire des mensonges ? Y-a-t-il une raison ? (Non, Maître. Nous Vous croyons, Maître.) Croyez. Merci. C’est bien pour vous. En chinois, ils disent : « La foi est mère de toutes les vertus. » C’est-à-dire que votre foi, votre croyance, est la plus importante des dix mille vertus. Dix mille n’est qu’un chiffre. Pas seulement dix mille. Quelle que soit la vertu, si vous n’avez pas la foi, que vous ne croyez pas, alors ce n’est rien, car la croyance, la foi, est la plus haute des dix mille vertus.
(Maître, Vous ressemblez à une Altesse royale d’Europe aujourd’hui. ) Royale ? ( Royale, comme une reine européenne ) Vraiment ? ( avec les cheveux et le chemisier. ) Où est la couronne ? Je l’ai laissée quelque part. Merci. Pourquoi européenne ? Pourquoi pas coréenne, comme la dernière fois ? Européenne, vraiment ? Les cheveux, à cause des cheveux. ( Oui. Je pensais peut-être à Monaco ? Altesse royale de Monaco. ) Mo quoi ? ( Altesse royale de Monaco. ) ( Le foulard et les cheveux. ) ( Une Altesse royale de Monaco. ) De Monaco ? (Oui.) Oui, j’étais à Monaco. Mais quand j’étais là-bas la 1ère fois, beaucoup de gens ne cessaient de m’appeler princesse. Je répondais : « Non, non, je ne suis pas une princesse. » Par exemple, je suis allée dans un restaurant ou autre, un hôtel, ils ont dit : « Bonjour, princesse-ceci, princesse-cela. » Et je disais: « Non, non, je ne suis pas une princesse. » Parce que je pense qu’ils pensaient que j’étais une sorte de princesse. Parce que le prince de Monaco, à cette époque, Sa Majesté le prince Albert, il était encore jeune et partout où il allait, normalement il conduisait lui-même une voiture, mais parfois, s’il allait dans un club avec beaucoup de gens, alors il avait un garde du corps, avec un pistolet, je suppose. Et j’avais, à cette époque, quatre gardes du corps. Alors, ils pensaient que j’étais peut-être importante ou une princesse. J’étais habillée, je ne sais pas, comme une princesse ou autre. Je ne suis pas sûre, je ne me souviens pas. Alors, je disais : « Non non, je ne suis pas une princesse. » Et ils disaient : « Oh, Vous êtes ma princesse. Vous êtes notre princesse. » Comme ça, de nombreuses fois.
Et je vous ai dit qu’il y avait un chauffeur de taxi, il a apporté sa meilleure Mercedes, une grosse Mercedes longue et blanche est venu et a dit : « Pour Vous, princesse. » Je n’ai commandé qu’un taxi et il a apporté sa Mercedes. J’ai dit: « Ouah ! Est-ce mon taxi ? » Il a répondu: « Oui, pour Vous, princesse. » Il n’a pas dit taxi ou autre. J’ai pensé qu’il s’était trompé. J’ai dit : « J’ai commandé un taxi. Vous êtes celui que j’ai choisi. Pourquoi une autre voiture aujourd’hui ? Il a dit : « Pour Vous, princesse. » J’ai pensé qu’il plaisantait, alors je m’en fichais. À Monaco, un chauffeur de taxi, on ne le regarde pas de haut. Parce qu’une licence à Monaco, ça coûte plus ou moins un million de dollars US ou d’euros. J’oublie, euros ou dollars américains, mais un million de toute façon. Parce que Monaco est une petite zone précieuse ; c’est comme un joyau très rare et précieux en Europe. Très petit mais très beau, joli. Tous les gens les plus riches, ou pas tous, mais tous les gens riches y vivent. Les plus riches, ceux des plus riches, des plus célèbres – les mannequins, les stars de cinéma – ils ont tous un appartement là-bas, des maisons ou autre. Parce que tout autour, on peut toujours voir la mer, la plage. Et là-bas c’est très propre, très sûr. Et c’est très difficile d’obtenir une licence de chauffeur de taxi à Monaco et il avait aussi un appartement. Je l’ai su parce qu’après, un jour, je faisais un tour avec un agent. Je me disais que peut-être je vivrais à Monaco ; on s’y sent en sécurité. Parce que là-bas, il y a beaucoup de policiers partout. Il n’y a pas de crime, rien. Pas de paparazzi, rien n’est autorisé à Monaco. C’est pour ça que les riches, les gens célèbres, aiment y vivre parce qu’ils se sentent en sécurité, protégés. Les paparazzi n’ont pas le droit de harceler les personnes célèbres de toutes sortes. (C’est) la loi. Ils traitent les femmes de façon excellente là-bas. C’est à cause de la princesse Grace, la mère de l’actuel prince de Monaco, une actrice américaine, elle a mis en évidence que les femmes doivent être respectées et entourées de soins là-bas. Très respectueux envers les femmes, on doit les traiter comme des dames.
Alors, tous les mannequins y vivent également, et les stars de cinéma, et les riches, les milliardaires, les millionnaires. Et quand vous êtes à Monaco, vous ne voyez que des hélicoptères privés, de grands yachts de glorieuses demeures et personnes, toutes sortes d’autos chic du monde. On ne voit pas de voitures normales. Et on voit rarement un citoyen de Monaco travailler. Ils m’ont dit : « Nous, les Monégasques, on ne travaille pas. Ce n’est pas vrai en fait, mais c’est l’impression que les gens ont parce que le pays est si riche. Et les gens riches y sont allés aussi, ils n’ont pas à payer d’impôts ou quoi que ce soit, pas d’impôt sur le revenu. Et s’il y a des pauvres, des gens de la classe ouvrière, le gouvernement leur bâtit des maisons, des copropriétés, des appartements dans une zone moins centrale ; très bon marché, très, très bon marché. Vous pouvez acheter ces petits appartements pour vous-même, pour seulement 50 000 euros, le gouvernement a construit, mais il faut peut-être remplir des conditions. Vous devez montrer que vos revenus sont très faibles, et que vous avez travaillé longtemps, loyalement dans tel et tel endroit.