Vous devez vous battre jusqu’au bout, Monsieur le Président. Au moment où je parle, à présent, je ne sais pas combien d’enfants sont morts là-bas. Parce que vous faites la paix, pour que les futurs enfants ne subissent plus ce sort. Vous ne pouvez pas abandonner. Vous devez vous battre pour eux, Monsieur le Président !
Le 24 novembre 2020, alors que notre Maître Bien-Aimée prenait affectueusement des nouvelles de l’un des membres de l’équipe de Supreme Master Television, Elle a fait part de Son inquiétude à propos du président des États-Unis, Son Excellence Donald Trump et a partagé un message urgent et sincère à son intention.
Bonjour, on peut parler ? (Oui.) Es-tu occupée ? ( Non, ça va. ) Ok. Je veux juste te demander si tu es déjà revenue à la normale ou non. Ça va mieux ? ( C’est en cours, Maître. ) En cours. (Oui.) 70 % de mieux ? (Oui.) Ok. Bien. Demain, 80, après-demain, 90. Ensuite, le jour suivant, 100%. (Merci Maître.) C’est compris ? (Oui.) Les filles t’ont apporté à manger ? Je leur ai demandé de te l’apporter, au cas où tu serais trop fatiguée pour sortir. ( J’ai pu aller chercher de la nourriture moi-même, elles ont essayé, mais j’ai dit « C’est bon » et je suis allée la chercher moi-même. ) Très bien alors. Il vaut mieux aussi ne pas te laisser aller, (Oui.) car le corps écoutera. Ils pensent : « Oh, elle dit que je ne vais pas bien, je ne peux pas y aller. » Ensuite, les cellules font cela. (Je comprends, Maître.) Oui, alors tu te dis simplement : « Je suis forte, je peux le faire. C’est bon, c’est juste temporaire. » (Oui. Merci pour Votre sollicitude.) Je veux dire que j’ai aussi des problèmes, mais je m’en fiche. Je me dis : « Tu t’y habitues. Tu connais déjà ça. (Oui.) Ce n’est rien de nouveau. » Je me disais : « Tu as eu mal à la tête avant, tu as eu mal là-dedans avant ; tais-toi. » C’est ce que je me suis dit. Je suis contente que tu ailles mieux. (Merci.) Si tu n’as pas envie de manger de la nourriture solide, fais simplement de la soupe. (Oui, oui, Maître.) Soupe et bouillon de légumes et fruits frais, ce sont des aliments pour le rétablissement. (Oui.) Fais en sorte que le corps n’ait pas à travailler trop dur pour qu’il se concentre sur la guérison. (Oui Maître.) Et de l’exercice, de l’air frais. OK ? (Oui Maître.) Ou sors marcher, promène-toi dans ton jardin, ton voisinage. (Oui.)
OK. As-tu lu quelque chose de nouveau ? Non ? Oui ? ( Non, pas vraiment. Je n’ai pas trop lu les informations. ) Oui, oui, parce que tu n’es pas bien. Bien. Je viens de lire aujourd’hui. Je n’ai pas lu la veille, hier, car j’avais trop de travail. (Oui.) Mais je viens d’allumer le téléphone parce que je dois faire ça pour envoyer quelque chose. (Oui Maître.) Et puis j’ai vu quelque chose disant que ton président Trump est prêt pour la transition et j’ai réfléchi : qu’est-ce que ça cache. (Oh non.) Est-ce qu’il nous abandonne ? Je veux dire qu’il ne devrait pas. (Non.) Ce n’est pas encore la fin. N’est-ce pas ? (Oui.) Même s’il ne gagne pas, et alors ? Il n’a plus rien à perdre maintenant. Si ? (Non.) OK. Peut-être qu’il pourrait faire la transition mais il ne devrait pas abandonner. Je sais que c’est très difficile pour lui. (Oui.) Parce que j’ai lu les gros titres et sur mon téléphone portable, (Oui.) tout le monde semble être contre lui. Presque tout le monde. Sauf ses partisans, mais ses partisans n’ont pas une grande voix comme ces gens qui sont contre lui. (Oui.) Ce sont les médias, c’est le Sénat, c’est le GOP [Grand Old Party]. C’est le… qu’est-ce que c’est ? (Les républicains.) GOP, qui que ce soit. (Oui.) J’ai deviné que c’était les républicains. Je pensais à ça. Je veux dire, mon Dieu, s’ils ne peuvent pas l’aider, ils ne devraient pas le rabaisser. Tu vois ce que je veux dire ? (Oui Maître.) Ça veut dire essayer de le décourager. (Tout à fait.) Essayer de le démoraliser. Mon Dieu, l’homme est déjà presque à terre. Ils ne devraient pas faire ça. Ce n’est pas gentil. (Non.) Je ne pense pas que ces gens soient dans le même parti ou peut-être dans le même parti mais pas, je ne sais pas s’ils ont de bons idéaux sur le monde ou sur quoi que ce soit. Désolée ! Eh bien, je ne suis pas désolée. Je suis une citoyenne libre. Nous avons la liberté d’expression. N’est-ce pas ? (Oui Maître.) Je ne cite aucun nom, mais je ne suis pas d’accord avec ces gens qui ridiculisent ton président. Il est toujours président. D’accord ? (Oui. Oui Maître.) Il est toujours président des États-Unis d’Amérique. Il ne devrait jamais abandonner, pour le moment. (Oui Maître.) Pas avant la dernière seconde, jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus. ( Oui, oui, Maître. ) Je suis tellement désolée pour lui, tu sais ? J’ai lu ça et j’ai pleuré. J’ai pensé… J’espère qu’il n’a pas abandonné parce que je prie toujours pour lui. (Oui.) Et puis peut-être qu’il changera encore, tu sais ? Je ne veux rien dire parce que parfois on ne devrait pas dire certaines choses, d’accord ? (Je comprends, Maître.) Il ne faudrait pas divulguer des choses parce que nous sommes dans le monde ennemi, tu sais ? Nous ne sommes pas au Paradis, pas dans notre Maison. Oui ? (Oui Maître.) C’est pourquoi vous me demandez beaucoup de choses, je dis que je ne peux pas vous dire. Tu vois ? (Je comprends, oui.) Parce que même si vous avez un espion autour de vous, vous ne pouvez pas parler fort, car vous craignez que les ennemis vous entendent. Oui ? (Oui.) Mais ce genre de choses, on ne peut même pas ne pas parler fort. (Oui.) Parce qu’il y a des espions invisibles, tu vois ? (Oui, je comprends.) Et ils essaieront de trouver le moyen de contrer et vous causeront des ennuis. (Ouah.) Retardant votre plan, ruinant votre idée ou ruinant votre programme, ou tu sais ? Tout est comme ça, tellement de choses, mais j’ai encore beaucoup d’espoir et je prie pour lui. Tu pries toujours pour lui ? (Oui Maître.) Dis-le à tous tes collègues. (Oui Maître.) Je ne peux forcer personne, je ne peux pas recommander ou quoi que ce soit, je vous demande juste si vous le pouvez. D’accord ? (Oui.) S’il vous plaît, priez pour lui. (Nous le ferons.)
J’espère que M. Trump ne renoncera pas. Je pensais : y a-t-il moyen que je le contacte, lui parle, le réconforte et l’encourage ? Mais je ne suis personne. Je ne connais aucun républicain. (Oh.) Oui, bien sûr, Tu comprends ? (Oui Maître.) Parce que je n’ai jamais été impliquée dans la politique ou n’ai jamais été intéressée de toute façon. (Oui.) Mais ceci, je veux dire à M. Trump s’il l’a même entendu, ou j’espère que quelqu’un parmi ses fidèles lui dira peut-être ce que je veux lui dire :
« S’il vous plaît, M. Trump, n’abandonnez pas. S’il vous plaît, n’abandonnez pas. Parce que ce n’est pas pour vous. Je sais que si j’étais vous, j’aurais aussi abandonné depuis longtemps. Je me fiche de ce poste, président ou autre… cela ne veut rien dire pour moi. Peut-être que cela ne signifie rien non plus pour vous, mais ce sont vos gens qui vous ont fait confiance et ce n’est pas pour vous que vous devez vous battre pour votre présidence méritée à juste titre. Les gens vous aiment. Pas seulement les Américains, mais les gens du monde entier vous aiment. Et nous vous aimons. D’accord ? Nous ne vous connaissons pas, nous n’avons aucune relation avec vous, mais nous vous aimons, nous savons que vous êtes un homme bon, bon, bon. Parce que vous avez fait beaucoup de bonnes choses auxquelles les gens se sont opposés, par exemple, si vous sortez de l’OTAN, j’approuve cela. Que font-ils de toute façon ? Pourquoi avoir autant d’argent des contribuables pour se préparer à tuer des gens ? C’est inutile. Et même les autres organisations, un jour elles disent ceci, un jour elles disent cela, se contredisant et rendant les gens confus. Elles sont payées, mais elles ne font pas bien leur travail. Donc, quelle que soit l’organisation que vous quittez, je pense que vous avez fait la bonne chose ! Jusqu’à ce qu’ils changent. OK ?
Alors peut-être que personne ne vous a dit que vous aviez fait la bonne chose, mais je vous le dis à présent. Je risque ma réputation de pratiquante spirituelle, d’enseignante à qui de nombreuses personnes font confiance dans le monde. Je risque également ma sécurité pour vous dire cela. Pas à cause… de vous, mais à cause des choses que vous faites qui profitent au monde. Vous devez vous battre jusqu’au bout, Monsieur le Président. Ce n’est pas pour vous, ni pour votre famille. Vous avez des enfants, vous comprenez, vous savez combien vous aimez vos enfants, imaginez si vos enfants sont bombardés, estropiés, tués juste devant vous… comment vous sentiriez-vous ? Mais c’est ainsi que des centaines de milliers d’enfants meurent comme ça. Au moment où je parle, à présent, je ne sais pas combien d’enfants sont morts là-bas. Ils meurent jeunes, meurent innocemment, meurent injustement. Parce que vous faites la paix, pour que les futurs enfants ne subissent plus ce sort, vous devez… vous devez vous battre, vous ne pouvez pas abandonner. Vous devez vous battre pour eux, Monsieur le Président !
Je ne demande jamais à personne de faire quoi que ce soit. Mais je vous le demande parce que j’espère que vous êtes le seul à pouvoir le faire et vous l’avez prouvé. Vous n’avez jamais dit que vous alliez être président et qu’ensuite vous feriez la paix, mais vous faites simplement la paix, comme ça. Et combien de vies de centaines, de milliers ou de millions de personnes seront sauvées ? Combien de pays seront stabilisés, auront la paix et la prospérité et continueront leur vie grâce à vous. Veuillez vous battre pour eux. Jusqu’à présent, tout le monde ne peut pas faire la paix comme vous, alors continuez de vous battre. Peu importe, vous ne pouvez pas prédire si vous gagnerez ou perdrez. Cela dépend aussi du karma de votre pays et du monde, alors battez-vous. Faites ce qui est juste parce que vous avez gagné l’élection légitimement ; les Cieux me l’ont dit et je le sais. Je sais beaucoup de choses que je ne peux dire à personne. Mais le temps nous le dira. Vous ne pouvez pas simplement abandonner, parce que peut-être que l’autre partie se présente et ensuite ils vont bombarder des enfants, bombarder des femmes, bombarder à nouveau des innocents et personne ne pourra les arrêter. Et ces pays…, ce ne sont pas des pays occidentaux, ce ne sont pas l’Amérique. La plupart d’entre eux ne peuvent pas se permettre les soins médicaux que les Occidentaux ou les Américains peuvent se permettre. Ce sont des pays pauvres, ils sont déjà pauvres et s’ils sont blessés, estropiés, handicapés, paralysés par les bombes, par les armes à feu, par quoi que ce soit dans la guerre, ils mourront ou souffriront, souffriront, souffriront. S’il vous plaît, pensez-y.
Tout ce que vous avez fait était juste. Je sais que vous n’acceptez pas le changement climatique, car vous ne l’avez pas étudié. Vous avez été très occupé avec vos affaires, avec vos autres choses. Je ne vous en veux pas, mais je sais, j’ai confiance que si vous en saviez plus, vous feriez immédiatement quelque chose. Vous faites aussi quelque chose, mais ce n’est pas l’essentiel. Par exemple, je prône le véganisme, parce que le véganisme apporte la paix et la prospérité et la stabilisation du climat.
Je n’essaie pas de vous prêcher à ce sujet, mais j’ai confiance en vous. Au moins, vous faites la paix et vous sauvez la vie des humains, vous sauvez la vie des Américains, ces jeunes, beaux, magnifiques garçons et filles intelligents ne peuvent pas simplement être gaspillés dans un pays étranger ou n’importe quel pays. Vous avez donc sauvé leur vie, vous avez apporté le bonheur à leur famille, vous avez apporté des sourires à leurs femmes, à leurs enfants, et pour cela, merci beaucoup et le monde vous remercie aussi d’avoir un avenir paisible. Et cela signifie beaucoup pour le Ciel et la Terre ; cela signifie beaucoup pour le monde entier. Donc ce n’est pas pour vous qu’il faut vous battre, il faut penser aux autres comme ça.
Et je sais que vous… n’êtes pas végan ou quoi que ce soit, ça va, vous faites ce que vous pouvez. OK ? Je ne vous en veux pas, car beaucoup de gens connaissent le véganisme, savent que c’est bien pour le monde. Et beaucoup de gens savent avec certitude ce qui peut sauver le climat et ils s’en vantent. Ils disent qu’ils vont faire ceci, faire cela pour le climat et laissent entendre qu’ils vont instaurer le véganisme et tout cela, ce sont des paroles en l’air. Cela ne signifie rien pour moi, ne signifie rien pour personne. Au moins, vous êtes direct et honnête. Quand vous ne croyez pas, vous dites que vous ne croyez pas, et ce que vous croyiez, vous ne vous en vantez même pas, vous ne promettez rien, vous le faites simplement. Et pronto, vite, aussi vite que possible. Alors je suis vraiment reconnaissante pour votre leadership, essayez de continuer à reprendre la place qui vous revient… en tant que gagnant. »
Ça va bien, fille ? (Oui.) Ok, parce que j’ai entendu du bruit, peut-être que tu pleures. J’ai pensé que peut-être… Je te le dis… Je suis désolée, je suis tellement émue mais ton président ne devrait pas abandonner. (Oui Maître. Merci.) Je n’ai jamais soutenu aucun leader de cette manière, tu le sais. (Oui, je sais, Maître.) Tu le sais avec certitude (Oui.) et je ne pense pas que je ne referai jamais ça. Donc ça vient vraiment de mon cœur, ce n’est pas du téléprompteur ou quoi que ce soit du genre ou un script tout prêt, ou d’un prête plume ou autre. (Oui Maître.)
Tout vient de mon cœur. Et j’espère simplement que mes paroles sincères venant du cœur parviendront à ton président. (J’espère aussi, Maître.) Et juste... peut-être, donnez-lui juste un peu plus d’encouragement. Pour qu’il n’abandonne pas simplement. Ils attaquent sa fierté. (Oui Maître.) Ils le provoquent, pour qu’il abandonne. Mais c’est ça le piège et l’astuce. Il ne devrait pas faire ça. C’est un homme intelligent ; il ne devrait pas faire ça. Il ne devrait écouter personne sauf son propre cœur (Oui.) et sauf Dieu. Écoutez les anges autour de vous ; écoutez Dieu au-dessus de vous, car vous êtes un homme juste. (Oui.) Et c’est pourquoi je vous dis cela, Monsieur le Président. Je ne suis pas gênée de vous montrer mes émotions et mon soutien, car je sais que c’est correct. Je ne vous soutiens pas, M. Trump, je soutiens vos idéaux, votre travail, vos actions qui sauvent des vies, car très rarement le monde peut voir un leader comme vous. Alors, s’il vous plaît... Je veux vous dire que c’est un ordre. Vous devez vous battre. Vous êtes un homme, n’abandonnez pas. C’est tout ce que je veux vous dire. Même s’ils font pression contre vous, qu’ils vous embarrassent, qu’ils vous humilient, qu’ils vous dégradent, ils essaient toutes sortes de choses juste pour vous pousser à abandonner rapidement, n’abandonnez pas. Parce que tous les grands hommes, les grandes femmes qui sont destinés à faire quelque chose de grand pour le monde, vraiment grand, ils ne sont jamais soutenus à 100% par le monde – presque le contraire. C’est le prix que ces gens formidables doivent payer. C’est comme ça. Alors vous continuez à faire ce que vous pouvez. Travaillez avec vos avocats, vos amis de confiance, vos supporters. Vous devez également tenir compte de vos partisans qui ont le cœur brisé par le résultat injuste de l’élection. Certains risquent leur emploi, leur sécurité pour vous défendre. Donc, pour toutes ces personnes, et pour le monde, vous devez continuer. Vous ne pouvez pas abandonner. J’ai également eu beaucoup de difficultés dans ma mission, jusqu’à maintenant, mais je n’ai pas abandonné. Donc, si vous êtes un homme, vous devriez être meilleur. Vous êtes un homme, vous ne pouvez pas abandonner, pas avant les dernières secondes, s’il n’y a plus d’espoir, plus de moyen de sortir du combat. Vous devez continuer, M. le Président. J’aimerais pouvoir vous dire ceci en personne, mais je ne suis personne, dans l’arène politique. Je n’ai aucun pouvoir. Je veux juste vous faire part de ma demande honnête et sincère. Je vous souhaite tout le meilleur, toute la chance que vous méritez. Je vous souhaite toute la protection du Ciel et des hommes. Amen. (Amen.)
Bon, fille, je pense que je suis essoufflée, maintenant. (Oh, Maître.) Oui. d’accord. (Merci Maître.) As-tu quelque chose à me dire ? Sinon, j’irai continuer mon travail. (OK, Maître. Merci.) C’est juste un emportement soudain, mais je voulais vraiment en parler. (Oui Maître, je comprends.) Je dis ce que j’ai sur le cœur. J’espère que mes paroles parviendront à ton président. (Oui Maître.) Parce que ma sincérité compte. (Oui je sais.) Ma bonne volonté sincère compte. (Oui.) J’espère que certains des républicains qui le connaissent pourront lui transmettre ce message. Je ne sais pas si quelqu’un se soucie vraiment de ce que je dis, mais j’espère juste que d’une manière ou d’une autre, ils trouveront un moyen de le joindre. (Oui.) Juste pour lui rappeler qu’il doit continuer son chemin, et pourquoi faire, tu comprends ce que je dis ? (Oui Maître.) Ce n’est pas pour lui-même, donc il ne devrait pas être gêné, se sentir déprimé ou se sentir découragé par qui que ce soit. (Exact.) Il devrait simplement écouter son cœur. Écouter les anges, écouter Dieu. (Oui Maître.) Et continuer sa mission. (Oui.)
Très bien. Tu as quelque chose à me dire ? (Non Maître. Merci.) Non, ah ? Je pense que tu ne peux plus rien dire non plus, non ? Que penses-tu ? Que voudrais-tu lui dire en tant que citoyenne américaine ? Je sais, nous ne sommes peut-être rien, mais tu peux dire ce que tu veux, dire ce que tu as sur le cœur. Qui sait… ( Je ne veux pas qu’il abandonne ) Oui. ( parce que je veux que le monde soit en paix ) Oui. ( Et c’est l’un des rares dirigeants à avoir le courage d’être pacifique et de ne pas toujours entrer en guerre pour tout. ) Oui. ( Et il a le courage d’être différent et d’être pacifique, et le monde en a besoin en ce moment et nous ne pouvons pas continuer comme nous le faisons. ) Oui, oui. ( Alors j’apprécie vraiment les paroles que Maître lui adresse. J’espère qu’il écoutera. ) Oui, OK. Oui. Et nous continuons à prier pour lui. (Oui.) Que quelqu’un s’en soucie ou non. Nous le faisons simplement. (Oui Maître.) Parce que je pense qu’il est notre seul espoir. (Oui.) Même pour Un monde végan ou le changement climatique. Parce que beaucoup de gens l’utilisent juste pour des raisons politiques, (Oui.) Pour gagner des votes ou pour gagner la confiance ou pour collecter des fonds, (Oui.) quelle que soit leur motivation, mais ils ne font pas grand-chose. Jusqu’à présent, le climat empire et les gens souffrent de famine et de sécheresse, et de climats de folie, de tout déjà. Et ils le savent tous. (Oui.) Et ils disent qu’ils vont faire ceci, faire cela. Ils ne font rien. Rien d’essentiel. (Oui.) Et donc, même si le président, il… ils m’ont dit qu’il niait le changement climatique. Je ne savais pas grand-chose à ce sujet parce que je n’ai pas lu de nouvelles ou autre depuis des années. (Oui, je comprends.) Juste peut-être de temps en temps, quelque chose de spécial, donc je jette juste un œil aux gros titres. Mais seulement maintenant que je m’y suis vraiment intéressée, à cause de la pandémie qui ne ressemble à aucune autre maladie d’avant. (Oui Maître.)
Et je suis inquiète pour nos semblables humains, alors je continue à suivre les nouvelles. Tout ce que je peux dire, je l’ai dit. Et j’aide avec tout ce que je peux aider, au moins notre (groupe de) gens, tes frères et sœurs initiés. (Oui.) Je me sens responsable en tant qu’enseignante. Je dois vous protéger, donc je dois savoir beaucoup de choses. (Oui. Merci, Maître.) Même si je sais, mais je dois avoir des preuves scientifiques. (Oui, je comprends.) Par conséquent, je dois suivre tout cela. Et puis, au passage, j’ai appris pour M. Trump et tout ça... les actions injustes et injustifiées de tout le monde contre lui. Ce n’est ni juste, ni agréable. (Non.) J’espère que ses partisans continueront à le soutenir, au moins mentalement, émotionnellement, soutenez votre homme. (Oui.) Et ne le laissez pas être trop seul, et solitaire et entouré de tous ces soi-disant amis et collègues, et membres du parti et médias brutaux et tout ça... Oh mon Dieu ! (Oui.) Comme… martelant une personne.
Je pense que j’en ai assez dit. Tu veux lui dire autre chose ? Peut-être qu’il ne t’entendra jamais, mais dis-le simplement. Qui sait ? Comme ça, tu vides ton sac. Comme ce que je le fais à présent. Je ne sais même pas s’il le saura un jour. ( Oui. Je ne veux juste pas qu’il abandonne et je... Monsieur le Président, sachez simplement que nous vous aimons et… s’il vous plaît, soyez fort. ) Il est le seul espoir pour le monde en ce moment. (Oui.) D’autres dirigeants, ils font juste leurs affaires comme d’habitude, juste pour être payés, pour avoir des votes, peu importe... Juste pour plaire à tout le monde autour, que ce soit vrai ou faux. (Oui.) Il est le seul à dire ce qu’il pense et à faire ce qu’il pense être juste. (Oui.) Même s’il n’a rien promis. (Oui.) C’est comme ça que ça devrait être pour un leader, ça devrait être simple, direct. (Oui.) Juste honnête. (Oui. Sincère.) Sincère, oui, c’est ça. Sincère, c’est le mot. C’est un gars sincère. (Oui.) Et c’est pourquoi je l’aime bien. Les Cieux l’aiment aussi. Ils le soutiennent tous. Tous les Cieux veulent qu’il gagne. Et d’innombrables personnes dans le monde veulent qu’il soit à nouveau président. (Oui.) Je souhaite même qu’il puisse être président pour toujours. (Ouah.) Oui, mais il n’y a pas de tels amendements, n’est-ce pas, en Amérique ? (Non.) Chaque président ne peut faire que deux mandats maxi, non ? (Oui.) Mais en Russie, leur président peut être président pendant longtemps. (Oui.) Je pense que vous devriez peut-être changer votre constitution. Ah oui, ils devraient changer. (Oui.) Modifiez-la. Pour qu’un bon président, comme le président Trump, puisse rester pour toujours. Ou aussi longtemps que nécessaire. (Oui.) Ou jusqu’à ce que les gens ne veulent plus de lui. (Oui.) S’il a fait quelque chose de mal. Mais ce président va faire de mieux en mieux. (Ouah, oui.) Et si je pouvais avoir un pouvoir, je changerais la loi et le laisserais gouverner, le laisserais aider le monde dans sa position puissante. (Oui.) Parce que dans ce monde, si vous n’avez pas ce genre de pouvoir mondain, vous ne pouvez pas faire grand-chose. Alors c’est bon. En Russie, le président Poutine peut être président presque pour toujours. Ils ont changé la constitution. Et pourquoi pas, s’il ne fait rien de mal, s’il a apporté la sécurité et la paix dans son pays. (Oui.) Au moins la paix (Oui.) et la prospérité. (Oui Maître.) Il n’opprime pas les gens et les gens sont libres de faire ce qu’ils veulent, d’aller où ils veulent, et de vivre leur vie. (Oui.) Au moins la paix. La paix est le meilleur remède pour n’importe quel pays. (Oui.)
Je veux redire quelque chose, d’accord ? (Oui Maître.) Très bien. C’est plus officiel et plus sérieux. Président Trump, j’étais trop émue avant, je veux ajouter quelque chose en toute sérénité. Sérieusement, vous devez continuer à mener votre combat juridique, jusqu’à ce que vous ne puissiez plus vous battre. Vous ne pouvez pas abandonner. Il faut penser à toutes les victimes de la guerre jusqu’à présent.
On ne parle pas de la longue histoire de guerre, on parle de près de deux décennies de guerre en Afghanistan, par exemple. Combien de personnes sont mortes, combien d’enfants ont souffert, combien de veuves. Pensez à eux. Vous savez, du jour au lendemain, elles sont devenues veuves, puis du jour au lendemain, peut-être, on les force à être esclaves d’un riche villageois ou à être maltraitées par eux, afin qu’elle puisse avoir de quoi survivre pour le bien des enfants. Pensez aux enfants… qui sont soudainement devenus orphelins, sans-abri. Bras perdus, jambes perdues, rampant dans la rue pour trouver du pain moisi, endurant des brimades, du harcèlement ou des agressions, partout pendant la guerre, à cause de la guerre, ou séduis pour entrer dans des bordels, ou pour rejoindre des groupes révolutionnaires, étiquetés « terroristes ». Ils se font bombarder à nouveau, une deuxième fois, troisième fois… jusqu’à ce que le moindre reste de foi en Dieu soit brisé, sa vie brisée aussi ! Et ne plus avoir d’avenir, sauf sur le champ de bataille sanglant, dans les guerres sanglantes sans fin. Ou ils doivent venir et être des enfants travaillant dans un emploi sous-payé quelque part. Mais alors, ils ne peuvent même pas être en paix pour travailler pour gagner leur maigre survie. Parce que certains hypocrites viendront avec de gros costumes, de grandes caméras et une grande équipe, exposer le patron pour avoir forcé des enfants à travailler, etc., etc. Alors le gamin n’a même plus cette maigre existence. Ensuite, vous pouvez imaginer ce qu’ils deviennent. Ils peuvent soit rejoindre les dits « terroristes », soit entrer dans le bordel ou ramper quelque part dans les rues. Ou être agressé sans que personne ne s’en soucie du tout, parce qu’ils n’ont nulle part où aller. Ils ne peuvent être rien de plus qu’une sorte d’ordure naufragée dans la société, dans notre monde.
Je vous en prie, Monsieur le Président, cela ne peut pas durer éternellement. La guerre engendrera plus de guerre ; engendrera davantage de soi-disant « terroristes ». Et plus de soi-disant « terroristes » engendreront davantage de guerres. C’est un cycle sans fin. Vous pouvez y mettre fin. Vous avez fait en partie cesser la guerre. La solution est dans la Bible que vous priez tous les jours « Vous récolterez, ce que vous avez semez. » Seule l’énergie bienveillante de PAIX et VÉGANE repoussera la force du mal. Alors tout ira bien. Pourquoi ne gracier qu’une dinde ? Graciez tout le monde ! Tout comme votre secrétaire à la Défense l’a dit, M. Miller : « Toutes les guerres doivent prendre fin. » Il n’y a jamais de bonne guerre. Nous ne sommes pas nés sur cette planète juste pour tuer – et tuer et tuer. Que ce soit des humains ou des animaux. Toutes ces guerres doivent cesser. Et nous comptons sur vous. Beaucoup de gens comptent sur vous. D’innombrables personnes vous remercient d’avoir fait la paix dans leur pays, afin qu’elles puissent pousser un soupir de soulagement et espérer un avenir meilleur. Ok, je ne parlerai pas plus longuement. Vous devez vous battre, M. le président, mener votre juste bataille juridique. N’abandonnez pas – pour le bien des victimes de guerre – du passé, présent et futur. Que Dieu vous bénisse, M. le Président. Que Dieu bénisse l’Amérique. Que l’Amérique redevienne formidable. Merci.
Très bien, mon amour. Je pense que je ferais mieux me remettre à mon travail maintenant. (OK, Maître.) À l’origine, c’est juste pour te demander si tu vas bien et puis on pleure toutes les deux comme des bébés. Peut-être qu’on devient des bébés. Chaque jour, si j’arrête de penser, alors je peux me concentrer sur mon travail… je pourrais m’arrêter un moment pour réfléchir. Mais quand je suis un peu libre, je pense aux gens qui souffrent dans le monde, à cause de la guerre, (Oui.) de la famine à cause de la guerre. Et les animaux qui souffrent tellement entre les mains brutales des humains. Oh, je pleure tout le temps. (Oui.) C’est pourquoi mes yeux ne sont plus aussi beaux qu’avant. (Ouah.) Je voulais demander à quelqu’un de m’acheter de meilleures lunettes. Pas grave, ce n’est pas si urgent, j’ai encore ces loupes. (Oui.) Donc, je porte les lunettes sur mes yeux, mais j’utilise aussi la loupe. (Oh, ouah.) Oh oui, comme ça, je peux lire les mots sur l’ordinateur. Avant je pouvais, plus maintenant. (Oh.) Je pense que je pleure trop, ça me perdra. J’espère juste que mes larmes emporteront une partie du karma des humains et des animaux et nous permettront d’avoir rapidement la paix et végan. (Oui. Oui Maître.)
J’ai parlé à tes frères et sœurs. J’ai dit que nous ferions un jour de plus pour les prières du Monde Végan. (Oui j’ai vu.) Peut-être que les gens de l’extérieur ne le feront pas. Mais au moins nous le faisons. (Oui Maître.) Et ce sera mieux. Plus rapide. Parce qu’avant, je ne pouvais pas trop demander comme ça. Cela doit être un peu plus progressif. (Oui.) Parce que si des gens de l’extérieur méditent et prient avec nous, le pouvoir sera trop fort pour eux. (Oui.) Mais maintenant peut-être qu’ils peuvent déjà y être habitués. (Oui.) Ainsi, nous pouvons augmenter le pouvoir de bénédiction dans ce rassemblement et cette prière. (D’accord. Merci, Maître.)
S’il te plaît, continue à prendre soin de toi. (Oui Maître. Merci.) Tout n’est pas de ta faute. C’est le karma du monde et c’est l’influence du négatif qui persiste encore chez les humains. (Oui Maître.) Très bien. On supporte tout, on paye tout. Nous payons tout tant que les autres ont la paix et la sécurité. (Oui, je comprends.) Nous faisons de notre mieux. Merci. Que Dieu te bénisse. (Merci Maître.) Que Dieu te bénisse. (Fais attention. Oui.) Oui, et Dieu te récompense en silence. Je te parlerai la prochaine fois. OK ? (OK, Maître. Merci.) Bien. Mais si tu ne peux vraiment pas... ne te sens pas en mesure de le faire, laisse simplement les filles t’aider. (Oui Maître.) Parce qu’elles apportent juste de la nourriture. Ce n’est pas grand-chose. Vous vivez les unes à côté des autres. d’accord ? (Oui Maître.) Peut-être qu’un jour, tu devras le faire pour elles. (Oui.) Tu sais, tout le monde a quelques jours de malchance ou de malaise physique. N’hésite pas, ne sois pas gênée. (OK, Maître. Merci.) Très bien. Prends bien soin de toi, vraiment, fille. (Oui.) Je t’aime. (Merci. Je Vous aime aussi, Maître.) Oui. Ciao. (Ciao.)
Notre plus profonde gratitude au Très Compatissant Maître Suprême Ching Hai, pour Votre Amour miséricordieux pour tous les êtres et pour le partage de ce message important pour le président Donald Trump et l’avenir de notre monde. Nous prions que le président Trump entende et tienne compte des paroles du Maître et continue avec force et avec la protection du Ciel sa noble présidence pacifique pour le bien-être de tous les citoyens du monde, dans l’Amour Divin.